Quand je rentrerai ce soir chez mes parents, n’ayant rien écrit dont je puisse me réjouir, je ne leur paraîtrai pas plus étranger plus méprisable, plus inutile que je ne le suis à mes propres yeux. Tout cela naturellement d’après mon seul sentiment (qu’aucune observation si exacte soit-elle ne peut tromper) car en fait ils ont tous du respect pour moi et ils m’aiment également.