Parcouru quelques vieux papiers. Il faut toute la force possible pour supporter cela. Le malheur qu’on doit subir quand le travail s’interrompt alors qu’il ne peut réussir que s’il est écrit d’un seul trait, et c’est ce qui m’est toujours arrivé jusqu’à présent, ce malheur il faut le vivre à nouveau, et même si ce n’est pas avec l’ancienne intensité, de façon plus resserrée.
Bientôt, en septembre 1912 (sixième carnet du Journal), Kafka fera l’expérience d’un récit écrit en une nuit (de dix heures du soir à six heures du matin) : Le Verdict.