Une partie de la Niklasstraße et le pont tout entier se retournent sur le passage d’un chien qui accompagne en aboyant fort une automobile de la Société de Secours. Jusqu’au moment où il abandonne tout à coup, fait demi-tour et se révèle être un chien étranger et ordinaire qui n’avait pas d’intention particulière en poursuivant cette voiture.
En 1912, Kafka vivait avec sa famille Niklasstrasse 36. Ce pâté d’immeubles à disparu.