Le millionnaire à l’écran au cinéma « Esclaves de l’or ». Le retenir ! Le calme, le mouvement lent qui va droit au but, pas rapide quand c’est nécessaire, tressaillement du bras. Riche, gâté, assoupi, mais comme il bondit comme un valet et fouille la chambre de l’auberge forestière dans laquelle il a été enfermé.
Première mention d’un film dans le Journal. Kafka a vu « Sklaven des Goldes » au « Grand Theatre Bio Elite » de Prague (article paru le 1er juillet 1913 dans le Prager Tagblatt).